L’Unité protégée

EHPAD L'Esquirette Lescar

L’Unité Protégée est un lieu de vie adapté aux personnes âgées atteintes de la maladie d’Alzheimer ou maladies apparentées

Préserver leur autonomie physique

Préserver leur autonomie physique et psychique le plus longtemps possible pour les actes de la vie quotidienne,

Maintenir une vie sociale et des liens relationnels

Maintenir une vie sociale et des liens relationnels avec les autres résidents, bénéficier d’un soin relationnel privilégié

Pouvoir se mobiliser dans un espace sécurisé

Pouvoir se mobiliser dans un espace sécurisé, disposer d’un espace calme permettant d’éviter la surstimulation
L'Unité protégée

Exercer la « Liberté d’aller et venir à sa guise » en toute sécurité

Les personnes accueillies bénéficient d’un espace où il est prévu des activités adaptées pour limiter les sources d’angoisse et les comportements « défensifs ». Cette maisonnée est par sa conception architecturale, la formation du personnel dédié, un lieu de vie thérapeutique. Il a pour finalité de réduire les troubles du comportement et de permettre aux personnes qui y vivent de laisser cours à leur expression sans être stigmatisé par les autres résidents.

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Esquirette-256
Esquirette-243

Une équipe pluridisciplinaire pour une prise en soins adaptée

L’équipe est là pour aider le résident à surmonter les difficultés d’exécution des actes de la vie quotidienne par le développement de la communication non verbale, à travers le sens du toucher pour inciter le malade à faire lui-même les gestes quotidiens le plus longtemps possible. L’équipe est à l’écoute, observe, adopte une attitude bienveillante et rassure.

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L'Unité protégée

Les objectifs de la maisonnée

La maladie d’Alzheimer et/ou les maladies neurodégénératives apparentées touchent la personne dans son intelligence, son verbe, sa liberté. C’est une maladie de la communication verbale et de l’apprentissage : par la perte de mémoires où l’atteinte progressive des différentes zones du cerveau est inéluctable.

L’objectif de la maisonnée est de solliciter de manière variée ces mémoires pour stabiliser le plus longtemps possible les capacités restantes :
- Mémoire à court terme,
- Mémoire à long terme,
- Mémoire procédurale,
- Mémoire affective.

Cette maisonnée favorise le maintien d’une qualité de vie dans un cadre sécurisant et permet aux résidents de :
- Préserver leur autonomie physique et psychique le plus longtemps possible pour les actes de la vie quotidienne,
- Pouvoir se mobiliser dans un espace sécurisé,
- D’être « comme à la maison »,
- Disposer d’un espace calme permettant d’éviter la surstimulation,
- Maintenir une vie sociale et des liens relationnels avec les autres résidents,
- Bénéficier d’un soin relationnel privilégié.

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L’environnement

L’environnement architectural est le support du projet d’activité et de soins. L’Unité protégée est distincte des autres services de l’établissement.

La conception de l’unité favorise un environnement convivial de façon à protéger le bien-être émotionnel et réduire l’agitation des résidents.

Il est important de créer un environnement qui ne produise pas de surstimulations sensorielles mais plutôt un lieu apaisant afin de réduire l’agitation et les troubles du comportement.

Le souhait est de maintenir le résident dans un cadre proche de son domicile « comme à la maison » et créer un environnement chaleureux, familial, simple et fonctionnel. L'objectif étant de réduire les troubles du comportement à travers une approche non médicamenteuse et de permettre aux personnes qui y vivent de laisser libre cours à leur imagination sans stigmatiser les résidents.

Chaque résident possède sa chambre constituant ainsi son espace privatif. Un accès au jardin sécurisé est possible.

L'Unité protégée

Place des proches et relations avec les familles

La place de la famille est importante, car c’est celle qui connait le mieux la personne et a tissé avec elle des liens affectifs forts.

D’autre part le placement d’un parent atteint de la maladie d’Alzheimer ou de troubles apparentés est très souvent une solution ultime mais devenue nécessaire face à l’épuisement familial. Il convient d’entretenir ce lien avec l’aidant tant pour la qualité de prise en soins du résident que pour le bien-être de l’aidant.

Entretenir des relations suivies où l’aidant a sa place et peut participer à la prise en charge est gage de succès pour la famille, le résident et l’équipe, chacun étant dans une démarche de reconnaissance mutuelle.